Le mouvement Citoyen et Panafricaniste « Jotna » Africa, fidèle à son engagement pris devant Dieu et les hommes, jouera toujours sa partition concernant les débats de société qui agitent la nation. Fort de ce crédo, « Jotna » Africa, soutient FORTEMENT et sans RESERVE la position défendue par l’Honorable Député, Seydina FALL qui souhaite que la peine de mort soit rétablie au Sénagal.
Cette initiative n’a pas eu l’heur de plaire à certains groupuscules se disant défenseurs des droits de l’homme. C’est leur bon droit : nous sommes en démocratie ! Ceci étant, reconnaissons que l’heure est grave avec ces crimes crapuleux de plus en plus nombreux et dont la bestialité dépasse tout entendement.
Face à cette situation lourde de périls pour le tissu social, « Jotna » Africa interpelle le Gouvernement afin qu’il diligente vite la procédure pouvant permettre le rétablissement de la peine de mort. Certaines âmes sensibles pourraient trouver à redire par rapport à notre position. NOUS L’ASSUMONS DEVANT DIEU, LES HOMMES ET L’HISTOIRE ! Nous l’assumons compte tenu du fait que notre démarche à nous, à « Jotna » Africa, est de nous démarquer des positions « prêt-à-porter » que l’Occident au travers de certaines de ses officines, installées chez nous, veulent nous imposer.
Au fait, il est temps que cinquante ans après les indépendances que nous puissions dire NON par rapport à certaines injonctions. En vérité, l’Occident qui veut nous renvoyer son image en nous imposant TOUT, n’a pas le monopole de la sagesse. Les turpitudes de sa vie sociale, politique et culturelle, en disent long sur sa décrépitude morale. Dés lors, celle-ci n’a pas de leçons à nous donner.
Cela dit, la question sus mentionnée est très sérieuse pour être laissée aux mains des seuls intellectuels. Les populations démunies et durement frappées par la crise multiforme que traverse le pays, et ne pouvant s’offrir le luxe de payer des gardiens pour assurer leur sécurité, ont aussi leur mot à dire sur la problématique.
A « Jotna » Africa, nous demandons au Gouvernement de prendre ses responsabilités ; à défaut de laisser les populations arbitrer le débat : oui ou non pour la peine de mort ?
« JOTNA » AFRICA
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