mercredi 30 avril 2014
vendredi 25 avril 2014
Six clefs pour comprendre l'Ebola
Faut-il avoir peur du virus Ebola qui fait actuellement des morts en Afrique de l’Ouest? La réponse courte est Non. Mais pourquoi craint-on autant cette maladie?
Est-il vrai qu’il soit très difficile d’attraper l’Ebola?
Oui. Bien que ce soit l’un des virus les plus mortels, c’est aussi l’un de ceux qui se transmette le plus difficilement. Il faut un contact direct avec les organes infectés, la salive ou le sang d’une personne malade ou décédée, ce qui explique que les travailleurs de la santé aient souvent été, dans le passé, les premiers touchés, spécialement dans des régions où on manque de gants médicaux. La semaine dernière, l’Organisation mondiale de la santé annonçait avoir envoyé en Guinée trois tonnes et demie de vêtements de protection, gants et désinfectants.
N’est-il pas étrange qu’un virus si dangereux se transmette si difficilement?
Au contraire, du point de vue de la biologie et de l’évolution, c’est normal: comme l’Ebola tue son hôte neuf fois sur dix, un virus qui se répandrait très facilement mais tuerait ses hôtes aussi souvent, finirait lui-même par mourir.
N’a-t-on pas dit que cette pandémie est plus grave que les précédentes?
Selon Médecins sans frontières, elle est en effet géographiquement plus répandue que toutes celles survenues depuis qu’on a identifié ce virus, en 1976. Les autorités de la santé de deux pays —Guinée et Liberia— avaient recensé, le 8 avril, plus de 130 cas, dont plus de 80 décès, depuis le 21 mars (la grande majorité en Guinée). Des cas encore à confirmer ont été signalés en Sierra Leone. De plus, alors que les pandémies précédentes avaient été contenues loin des villes, on a cette fois trouvé des malades dans la capitale de la Guinée, Conakry, deux millions d’habitants.
La situation est donc grave?
Il faut remettre en contexte: depuis 1976, toutes pandémies confondues, l’Ebola a fait environ 1700 victimes. En comparaison, depuis 1981, le sida a tué 36 millions de personnes. La malaria en tue plus d’un million... par année.
Pourquoi en a-t-on si peur?
Une personne infectée souffre, entre deux et 21 jours après, de fièvre hémorragique violente: saignements des reins, des intestins des poumons... La progression est rapide et douloureuse. On ne lui connaît pas de médicament. C’est un mal qui terrifie les proches, qui frappe l’imagination.
D’où vient-il?
Un débat scientifique se poursuit à ce sujet. Une théorie veut que son réservoir naturel soit une population africaine de chauve-souris, mais il est également présent chez des grands singes (chimpanzés et gorilles) et chez des antilopes. On présume que lors de chaque pandémie, le «patient zéro» serait quelqu’un qui se serait nourri d’un animal infecté, ou qui aurait ramassé un animal mort.
Oui. Bien que ce soit l’un des virus les plus mortels, c’est aussi l’un de ceux qui se transmette le plus difficilement. Il faut un contact direct avec les organes infectés, la salive ou le sang d’une personne malade ou décédée, ce qui explique que les travailleurs de la santé aient souvent été, dans le passé, les premiers touchés, spécialement dans des régions où on manque de gants médicaux. La semaine dernière, l’Organisation mondiale de la santé annonçait avoir envoyé en Guinée trois tonnes et demie de vêtements de protection, gants et désinfectants.
N’est-il pas étrange qu’un virus si dangereux se transmette si difficilement?
Au contraire, du point de vue de la biologie et de l’évolution, c’est normal: comme l’Ebola tue son hôte neuf fois sur dix, un virus qui se répandrait très facilement mais tuerait ses hôtes aussi souvent, finirait lui-même par mourir.
N’a-t-on pas dit que cette pandémie est plus grave que les précédentes?
Selon Médecins sans frontières, elle est en effet géographiquement plus répandue que toutes celles survenues depuis qu’on a identifié ce virus, en 1976. Les autorités de la santé de deux pays —Guinée et Liberia— avaient recensé, le 8 avril, plus de 130 cas, dont plus de 80 décès, depuis le 21 mars (la grande majorité en Guinée). Des cas encore à confirmer ont été signalés en Sierra Leone. De plus, alors que les pandémies précédentes avaient été contenues loin des villes, on a cette fois trouvé des malades dans la capitale de la Guinée, Conakry, deux millions d’habitants.
La situation est donc grave?
Il faut remettre en contexte: depuis 1976, toutes pandémies confondues, l’Ebola a fait environ 1700 victimes. En comparaison, depuis 1981, le sida a tué 36 millions de personnes. La malaria en tue plus d’un million... par année.
Pourquoi en a-t-on si peur?
Une personne infectée souffre, entre deux et 21 jours après, de fièvre hémorragique violente: saignements des reins, des intestins des poumons... La progression est rapide et douloureuse. On ne lui connaît pas de médicament. C’est un mal qui terrifie les proches, qui frappe l’imagination.
D’où vient-il?
Un débat scientifique se poursuit à ce sujet. Une théorie veut que son réservoir naturel soit une population africaine de chauve-souris, mais il est également présent chez des grands singes (chimpanzés et gorilles) et chez des antilopes. On présume que lors de chaque pandémie, le «patient zéro» serait quelqu’un qui se serait nourri d’un animal infecté, ou qui aurait ramassé un animal mort.
Ebola: les chauves-souris suspectées d’être le «réservoir» du virus
D'après les scientifiques, une variante du virus Ebola circulait depuis un moment déjà en Guinée. Il n'aurait pas été introduit récemment dans le pays, comme on le pensait. Ils appellent les autorités guinéennes à informer les populations des risques qu'elles encourent en manipulant des animaux infectés.
Les données scientifiques sont très précises. Si la forme guinéenne du virus étudiée récemment est similaire à 97 % à la souche connue en Afrique centrale, dite « Zaïre », ce sont bien deux virus différents. Ainsi, contrairement à ce que pensaient les experts, le virus n'a pas été récemment déplacé d'Afrique centrale vers la Guinée, mais il y est en fait présent depuis plus longtemps.
« Cette souche n'a pas été introduite tout récemment en Guinée depuis le Gabon ou la RDC », confirme Sylvain Baize, spécialiste du virus Ebola, qui rentre de Conakry où il a participé à l'étude. « En fait, c'est une variante qui circulait depuis un certain temps. Le fait qu'il circulait depuis un moment suggère fortement que les populations de chauves-souris, qui constituent le réservoir de ce virus, sont sans doute infectées de façon assez conséquente, ce qui est très inquiétant. »
Pour le chercheur, cette nouvelle donnée doit alerter les pouvoirs publics de la sous-région. Pour le chercheur, ce sont les autorités qui doivent prendre la mesure du danger et prévenir les populations. Il y a, selon lui, différentes mesures à mettre en place : « Surtout, l'information des populations - en particulier celles qui vivent aux abords de la forêt - du risque qu'il y a à manipuler certains animaux de la faune, notamment les chauves-souris», explique-t-il. D'après les scientifiques, seules des captures de chauves-soruis dans toute la sous-région permettraient de cartographier la présence du virus Ebola.
« Cette souche n'a pas été introduite tout récemment en Guinée depuis le Gabon ou la RDC », confirme Sylvain Baize, spécialiste du virus Ebola, qui rentre de Conakry où il a participé à l'étude. « En fait, c'est une variante qui circulait depuis un certain temps. Le fait qu'il circulait depuis un moment suggère fortement que les populations de chauves-souris, qui constituent le réservoir de ce virus, sont sans doute infectées de façon assez conséquente, ce qui est très inquiétant. »
Pour le chercheur, cette nouvelle donnée doit alerter les pouvoirs publics de la sous-région. Pour le chercheur, ce sont les autorités qui doivent prendre la mesure du danger et prévenir les populations. Il y a, selon lui, différentes mesures à mettre en place : « Surtout, l'information des populations - en particulier celles qui vivent aux abords de la forêt - du risque qu'il y a à manipuler certains animaux de la faune, notamment les chauves-souris», explique-t-il. D'après les scientifiques, seules des captures de chauves-soruis dans toute la sous-région permettraient de cartographier la présence du virus Ebola.
jeudi 24 avril 2014
Une Bible de 1500 ans confirme que Jésus Christ n’a pas été Crucifié; Le Vatican Tremble
Par le Serpent,
Au grand dam du Vatican, une bible vieille de 1500 à 2000 ans a été trouvée en Turquie, dans le Musée d’Ethnographie d’Ankara. Découverte et tenue secret en l’an 2000, le livre contient l’Évangile de Barnabé, un disciple du Christ, qui démontre que Jésus n’a pas été crucifié, et il n’était pas le fils de Dieu, mais un prophète. Le livre appelle également l’apôtre Paul « L’Imposteur ». Le livre affirme également que Jésus est monté vivant au ciel, et que Judas Iscariote a été crucifié à sa place.
Un rapport publié par Le National Turk affirme que la Bible a été saisi par un gang de trafiquants lors d’une opération dans la région méditerranéenne. Le rapport indique que le gang a été accusé de contrebande d’antiquités, de fouilles illégales, et de possession d’explosifs. Les livres eux-mêmes sont évalués à plus de 40 millions de livres turques (environ 28 millions. Dollars). Où est la Guilde des voleurs, quand vous en avez besoin?
Authenticité
Selon les rapports, les experts et les autorités religieuses de Tehram insistent que le livre est original. Le livre lui-même est écrit avec des lettres d’or, sur cuir faiblement liées en araméen, la langue de Jésus-Christ. Le texte maintient une vision similaire à l’islam, ce qui contredit les enseignements du Nouveau Testament du christianisme. Jésus prévoit également la venue du Prophète Mahomet, qui a fondé l’islam 700 ans plus tard.
On croit que, pendant le Concile de Nicée, l’Église catholique a choisi de conserver les évangiles qui forment la Bible que nous connaissons aujourd’hui; omettant l’Evangile de Barnabé (parmi beaucoup d’autres) en faveur des quatre évangiles canoniques de Matthieu, Marc, Luc et Jean. Beaucoup de textes bibliques ont commencé à faire surface au fil du temps, y compris ceux de la Mer Morte et les évangiles gnostiques; mais ce livre en particulier, semble inquiéter le Vatican.
L’Eglise Romaine Catholique le veut
Qu’est-ce que cela signifie pour les religions dérivées du christianisme et leurs partisans? Plutôt serré comme endroit. Le Vatican a demandé aux autorités turques de faire examiner le contenu du livre au sein de l’Eglise. Maintenant que le livre a été trouvé, viendront-ils à accepter sa preuve? Vont-ils nier tout cela ? Vous allez appeler cela un « mensonge musulman », comme l’a fait le magazine «Vérité», en 2000? Pour beaucoup, ce livre est une lueur d’espoir, que les croyants se rendent vite compte que l’objet de leur adoration est arbitraire; et que tout le texte, en particulier des textes religieux, est sujette à l’interprétation.
Qu’est-ce que cela signifie pour les athées / agnostiques / penseurs laïques? Le texte est réel? Faux? Est-ce important? Espérons que ces nouvelles inspirent le religieux à poser des questions, au lieu de pointer du doigt ou de croire quoi que ce soit à l’aveuglette. S’il vous plaît, ne vous moquez pas et ne lancez pas des « Je vous l’avais dit! » S. Le plus grand danger de la foi, c’est quand les gens croient ce qu’ils veulent croire, et se défendent contre toutes preuves; surtout quand cette preuve révolutionne leur fondation à partir de sa base. Et le plus grand coupable de ce danger est le piège de l’ego: rejeter / critiquer les autres Pendant des siècles, la «défense» de la foi aveugle a conduit les nations à la guerre, la violence, la discrimination, l’esclavage et de devenir la société d’automates que nous sommes aujourd’hui; et depuis tout aussi longtemps, elle a été justifié par des mensonges. Si vous savez mieux, agissez en tant que tel.
mercredi 23 avril 2014
Brésil : violentes émeutes à Copacabana à la veille de la coupe du monde de football
A quelques semaines du match d'ouverture de la Coupe du monde de football, de violentes émeutes ont éclaté dans une favela de Copacabana, quartier touristique de Rio de Janeiro. Un jeune homme a été tué d'une balle dans la tête. La victime, âgée d'une trentaine d'années, a été transportée à l'hôpital Miguel Couto. Malheureusement, elle était déjà morte à son arrivée au sein de l'établissement.
Un danseur retrouvé mort dans des circonstances troubles
Ces émeutes ont commencé vers 17h30 heure locale après la mort d'un danseur professionnel, Douglas Rafael da Silva Pereira, 25 ans, un habitant de la favela de Pavao-Pavaozinho à Copacabana. Les circonstances de sa mort sont encore troubles. Une enquête est en cours. Selon les amis du jeune homme, il aurait voulu échapper à des échanges de tirs entre policiers et trafiquants de drogue. Il aurait alors sauté un mur pour se réfugier dans une crèche, mais aurait été pris pour un trafiquant de drogue et aurait été battu à mort par les forces de l'ordre de l'Unité de police pacificatrice (UPP), installée depuis décembre 2009 dans la favela en vue de la sécurisation de la ville pour la Coupe du monde de football.
Des affrontements fréquents
Rio de Janeiro, à l'instar d'autres villes du Brésil, est périodiquement secoué par des émeutes ou des manifestations qui dégénèrent en violents affrontements.
mardi 22 avril 2014
LANCEMENT INITIATIVE SUR LA GESTION DE LA ZAKAT SELON LES ENSEIGNEMENTS DU MAHDI (PSL)
Le comité d'initiative pour la gestion de la zakat a tenu un Grand Rassemblement le Lundi 21 Avril 2014 au Préau de Cambérène sous la direction de Serigne Cheikh Mbacke Thiaw Lahi fils du Khalife Général des Layènes Seydina El Hadji Abdoulaye Thiaw Lahi, en vue de réorganiser la zakat selon les enseignements de Seydina Limamou Al Mahdi Lahi (PSL).
La famille de Seydina Limamou Laye était fortement représentée avec à sa tête Seydina Issa Laye fils aîné du Khalife Général des Layènes et ses frères Cherif Dial Laye Thiaw, Cherif Mandione Thiaw Laye, Cherif Abdoulaye Thiaw Laye, Cherif Limamou Thiaw Laye et Serigne Idrissa Thiaw Laye.
Beaucoup d'autres personnalités aussi,sont venues soutenir et apporter leurs contributions pour la réussite de ce noble projet visant à combattre les inégalités et les injustices sociales. On peut citer Madame Maimouna Ndoye Seck ministre de l'énergie, Seydina Kane ministre conseiller du Président de la République en charge des questions énergétiques, Babakar Fall Directeur Général ANSD, les opérateurs économiques El Hadji Masse Mbengue, Mame Mbaye Niang, etc.
Les Imams des autres localités Layènes n'étaient pas aussi du reste Imam Seydi Gaye de Yeumbeul, Imam Makhtar Laye de Gouye Mariama Layène accueillis par le Chef de village El Hadji Yatma Diop Hane, le Maire de Cambérène Mame Amadou Samba et les Imams Libasse Lo et Babacar Hane ainsi que tous les notables.
Le conférencier Libasse Gaye a fait un exposé sur la zakat troisième plier de l'Islam qui a séduit toutes les personnes présentes à la cérémonie. Il a rappelé les recommandations de Seydina Limamou Lahi (PSL) dans son troisième sermon sur la zakat: «Je ne vous demande pas de me donner vos biens, je ne vous demande pas non plus de me donner vos moyens de vous enrichir. Mais je vous demande ce qui appartient à Dieu, et qui est un commandement impératif de Dieu, qui est obligatoire pour vous, c'est-à-dire le paiement de l'impôt (la zakat).
Dieu a commandé le paiement complet, et à son heure, de la zakat. Celui qui en soustrait un portion aussi petite qu'un atome aura à la payer le jour où, avoir des enfants ou de la richesse ne sert à rien. Vous ne devez ni manger ni boire ce que vous devez payer au titre de la zakat. Vous devez plutôt le donner en aumône. Or (ce jour) l'âme ne pourra rien pour elle-même».
La famille de Seydina Limamou Laye était fortement représentée avec à sa tête Seydina Issa Laye fils aîné du Khalife Général des Layènes et ses frères Cherif Dial Laye Thiaw, Cherif Mandione Thiaw Laye, Cherif Abdoulaye Thiaw Laye, Cherif Limamou Thiaw Laye et Serigne Idrissa Thiaw Laye.
Beaucoup d'autres personnalités aussi,sont venues soutenir et apporter leurs contributions pour la réussite de ce noble projet visant à combattre les inégalités et les injustices sociales. On peut citer Madame Maimouna Ndoye Seck ministre de l'énergie, Seydina Kane ministre conseiller du Président de la République en charge des questions énergétiques, Babakar Fall Directeur Général ANSD, les opérateurs économiques El Hadji Masse Mbengue, Mame Mbaye Niang, etc.
Les Imams des autres localités Layènes n'étaient pas aussi du reste Imam Seydi Gaye de Yeumbeul, Imam Makhtar Laye de Gouye Mariama Layène accueillis par le Chef de village El Hadji Yatma Diop Hane, le Maire de Cambérène Mame Amadou Samba et les Imams Libasse Lo et Babacar Hane ainsi que tous les notables.
Le conférencier Libasse Gaye a fait un exposé sur la zakat troisième plier de l'Islam qui a séduit toutes les personnes présentes à la cérémonie. Il a rappelé les recommandations de Seydina Limamou Lahi (PSL) dans son troisième sermon sur la zakat: «Je ne vous demande pas de me donner vos biens, je ne vous demande pas non plus de me donner vos moyens de vous enrichir. Mais je vous demande ce qui appartient à Dieu, et qui est un commandement impératif de Dieu, qui est obligatoire pour vous, c'est-à-dire le paiement de l'impôt (la zakat).
Dieu a commandé le paiement complet, et à son heure, de la zakat. Celui qui en soustrait un portion aussi petite qu'un atome aura à la payer le jour où, avoir des enfants ou de la richesse ne sert à rien. Vous ne devez ni manger ni boire ce que vous devez payer au titre de la zakat. Vous devez plutôt le donner en aumône. Or (ce jour) l'âme ne pourra rien pour elle-même».
Nous manifestons notre soutien total à cette noble initiative et souhaitons à Serigne Cheikh Mbacke Thiaw Lahi ainsi qu'à ses collaborateurs pleins succès.
La cartographie de l’épidémie d’Ebola est en ligne
L’épidémie de fièvre hémorragique due au virus Ebola en Guinée est suivie à la trace par les internautes volontaires d'Openstreetmap qui cartographient les régions du pays les plus touchées, afin d’aider les soignants à se repérer sur le terrain, en localisant les différents foyers d'infection.
Il n'existe aucun traitement ou vaccin contre la fièvre Ebola, qui se transmet par contact direct avec le sang ou les tissus biologiques des sujets infectés, qu’ils soient humains ou les animaux, vivants ou morts. La seule parade possible consiste à isoler les malades afin de limiter la propagation du virus mortel.
Quand les équipes de Médecins sans Frontières (MSF) sont arrivées en Guinée en février dernier, aucune carte correcte de la région n'était à leur disposition, pas même sur Google Map où les images satellites de la Guinée, affichaient des zones floues de couleur beige et jaune. Guéckédou, une ville de 220 000 habitants, située en plein cœur de l’épidémie, montrait à peine les contours des bâtiments.
Wade menace Macky réplique
L'ex Président Me Abdoulaye Wade dans un message s'adressant au Président de la République du Sénégal Macky Sall: «Il est le président. Il est donc responsable des tensions actuelles, notamment politiques
Dès le lendemain de son élection, il a commencé à faire campagne pour être réélu en 2017. S'il a mis mon fils Karim en prison, c'est parce qu'il voyait en lui le seul rival capable de l'affronter. Je vais lui dire que je ne souhaite pas qu'il y ait un affrontement pour le pouvoir au Sénégal, mais que, pour cela, la démocratie doit revenir.
Macky Sall est conscient de la dégradation politique, économique et sociale du Sénégal. Il faut y mettre fin. Je veux la paix et la démocratie mais, s'il persiste à maintenir des innocents en prison, j'utiliserai tous les moyens légaux pour combattre son régime ».
Dès le lendemain de son élection, il a commencé à faire campagne pour être réélu en 2017. S'il a mis mon fils Karim en prison, c'est parce qu'il voyait en lui le seul rival capable de l'affronter. Je vais lui dire que je ne souhaite pas qu'il y ait un affrontement pour le pouvoir au Sénégal, mais que, pour cela, la démocratie doit revenir.
Macky Sall est conscient de la dégradation politique, économique et sociale du Sénégal. Il faut y mettre fin. Je veux la paix et la démocratie mais, s'il persiste à maintenir des innocents en prison, j'utiliserai tous les moyens légaux pour combattre son régime ».
Le président de la République, aussi se prononçant sur l’arrivée de son prédécesseur Wade au Sénégal. Et ce n’est pas pour badiner car Macky Sall se montre ferme. Il ne laissera ni l’ordre public perturbé encore moins le désordre s’installer. En d’autres termes lance le président Sall à des proches : «le père du célèbre détenu de la Maison d’Arrêt et de Correction (MAC) de Rebeuss, Me Wade devra se comporter comme Abdou Diouf « qui n’a jamais critiqué la gestion de son successeur et ne s’est jamais exprimé sur la situation du Sénégal. Il s’est toujours comporté en chef d’Etat », faute de quoi, « force restera à la loi ».
Le Sénégal en danger
Le Sénégal en danger
Yaya Jammeh sur la fermeture de la frontière: "Ce que je veux montrer..."
La fermeture est effective depuis le 19 avril, sans raison officielle. La situation est à nouveau tendue depuis plusieurs mois. Jusqu'à la semaine dernière, les transporteurs sénégalais avaient boycotté la Trans-gambienne qui permet la traversée entre le nord du Sénégal et la Casamance en raison d'une augmentation des frais de passage.
Le contentieux porte sur les frais de traversée d'un fleuve qui se trouve sur la route Trans-gambienne, Banjul avait décidé d'imposer le paiement du ticket en francs CFA et non plus en monnaie locale, ce qui est défavorable aux transporteurs sénégalais. Peu d’informations circulent sur les raisons de cette mesure de fermeture des frontières.
Côté gambien, certaines sources lient cette fermeture à des questions de sécurité. Tout le week-end, explique-t-on à Banjul, le président Yaya Jammeh était en tournée à l’intérieur du pays avec l’ensemble de son gouvernement.
Même mutisme côté sénégalais. Mis devant le fait accompli, seuls les transporteurs dénoncent depuis deux jours cette mesure. Malgré des divisions internes sur leurs revendications, ces derniers affirment avoir décroché un accord de principe avec Banjul la semaine dernière. Cet accord était censé mettre fin à plus de quatre mois de blocus sur la traversée de la Trans-gambienne.
Il faut dire que ce boycott, initié par les routiers sénégalais, a profondément paralysé l’économie casamançaise en entravant la circulation des marchandises et en complexifiant la mobilité des personnes.
Côté gambien, on reprocherait à Dakar son manque d’implication dans les discussions autour de cette crise. « Cette fermeture de la frontière est une réaction à l’inaction de l’Etat sénégalais, ironise un analyste joint par RFI. Yaya Jammeh veut montrer que les problèmes de la Trans-gambienne ne se règlent pas seulement avec une corporation mais que cela implique des discussions d’Etat à Etat ».
Source : RFI
samedi 19 avril 2014
Locales 2014:Khalifa Sall bien entouré pour gagner Dakar
Pour engager la bataille des élections locales qui le mettra aux prises avec les apéristes de Dakar, Khalifa Ababacar Sall va s’entourer des responsables politiques venues de différentes chapelles.
Moussa Sy (maire des Parcelles Assainies), Diopsy, Mamadou Lamine Diallo (du mouvement Tekki), Docteur Malick Diop (député-maire de Point E-Amitié), Mbacké Seck (Rewmi), Babacar Ndao (Parti démocratique Sénégalais), Wally Fall … font partie de la dream team hétéroclite du maire de la capitale qui entend batailler ferme pour conserver son fauteuil.
vendredi 18 avril 2014
Tanor soutient Khalifa Sall pour la reconquête de la mairie de Dakar mais déplore la boulimie ‘’pouvoiriste’’ de l’APR
Pour la reconquête de son fauteuil de maire, Khalifa Sall ira liste à part, c’est-à-dire en dehors de Benno.
La décision est tombée à l’issue d’une réunion tenue hier, durant laquelle a été exposée une démarche de concertation avec l’APR qui a tourné à l’échec.
En effet, selon DAKARACTU.COM, après maintes invites, le parti présidentiel n’a daigné répondre à aucune d’elles. Une attitude qui a fait sortir Ousmane Tanor Dieng de sa position ‘’diplomatique’’ de compagnonnage, pour non seulement montrer qu’il est totalement en phase avec son camarade de parti Khalifa Sall, mais aussi pour fustigé cette boulimie de l’APR.
Selon Tanor, non seulement « Khalifa a pleinement rempli son mandat avec des résultats palpables, mais on ne peut pas tout accaparer dans une coalition ». « Yéneyi dou khèl sakh ! (ce n’est même pas intelligent !) » aurait-il ajouté.
Autre information de taille aussi, le Parti Socialiste tiendra son congrès les 5 et 6 juin prochain.
La décision est tombée à l’issue d’une réunion tenue hier, durant laquelle a été exposée une démarche de concertation avec l’APR qui a tourné à l’échec.
En effet, selon DAKARACTU.COM, après maintes invites, le parti présidentiel n’a daigné répondre à aucune d’elles. Une attitude qui a fait sortir Ousmane Tanor Dieng de sa position ‘’diplomatique’’ de compagnonnage, pour non seulement montrer qu’il est totalement en phase avec son camarade de parti Khalifa Sall, mais aussi pour fustigé cette boulimie de l’APR.
Selon Tanor, non seulement « Khalifa a pleinement rempli son mandat avec des résultats palpables, mais on ne peut pas tout accaparer dans une coalition ». « Yéneyi dou khèl sakh ! (ce n’est même pas intelligent !) » aurait-il ajouté.
Autre information de taille aussi, le Parti Socialiste tiendra son congrès les 5 et 6 juin prochain.
jeudi 17 avril 2014
Découverte historique de pétrole au large des côtes ouest-africaines
En effet, selon nos confrères de Jeune Afrique, c'est au large de San Pedro, dans le sud-ouest de la Côte d'Ivoire que cette découverte a été faite. Une grande première au large des cotes sub-sahariennes.
Trouvées à plus de deux-mille mètres de profondeur grâce au puits d'exploration Saphir-1XB sur le bloc CI-514, ces réserves sont, selon le directeur d'exploration du géant français, "un système pétrolier efficace à huile légère". Marc Blaizot d'expliquer que son employeur va à présent évaluer ce résultat très prometteur" et se " focaliser sur l'extension du prospect vers le nord et l'est".
mercredi 16 avril 2014
Halte au massacre du littoral, un film de Mansour Sora WADE
Mansour Sora WADE, président de l'association SOS Littoral et cinéaste engagé, nous présente un film documentaire sur l'accaparement et la dégradation du littoral à Dakar.
Sous les coups de boutoir de la spéculation foncière, les plages et espaces accessibles au public se réduisent dangereusement. Les travaux de remblaiement et les constructions en bord de mer modifient le trait de côte et aggravent l'érosion côtière.
Pour ne pas que l'accès à la mer ne soit réservé à quelques privilégiés, des associations appellent à un sursaut citoyen.
Sous les coups de boutoir de la spéculation foncière, les plages et espaces accessibles au public se réduisent dangereusement. Les travaux de remblaiement et les constructions en bord de mer modifient le trait de côte et aggravent l'érosion côtière.
Pour ne pas que l'accès à la mer ne soit réservé à quelques privilégiés, des associations appellent à un sursaut citoyen.
Le Conseil des Maliens dénonce le nombre élevé de mendiants maliens à Dakar
La mendicité des adultes prend de plus en plus de l'ampleur dans tout le pays. Il est temps que ce phénomène soit combattu par les autorités.
A cause de la facilité, tous les paresseux ont opté de tendre la main en jouant sur la foi des sénégalais.
A cause de la facilité, tous les paresseux ont opté de tendre la main en jouant sur la foi des sénégalais.
Aussi, le Gouvernement doit bien veiller à la surveillance des frontières. Les étrangers entrent et sortent comme ils veulent. Aujourd'hui, tous les invalides de la sous-régions (aveugles,lépreux, sourds muets handicapés) sont à Dakar ou dans les grandes villes pour mendier et l'Etat du Sénégal pour des problèmes de diplomatie et de soit-disant ''téranga'' laisse faire.
Cependant, il est heureux de voir le Conseil des Maliens du Sénégal dénoncer mardi devant leur président Ibrahima Boubacar Keïta le nombre élevé de Maliens qui mendient à Dakar en annonçant que ''80% des mendiants à Dakar'' sont originaires du Mali.
Pourtant le régime de Wade avait sorti un interdit sur la mendicité malheureusement combattu par certains religieux qui exploitent de manière éhontée des jeunes qu'on retrouve dans la rue et qui normalement devraient être à l'école.
La gestion de la mendicité doit être classée parmi les priorités de l'Etat du Sénégal qui doit prendre toutes ses responsabilités pour éradiquer à jamais ce fléau.
Mariage de la fille du président du Nigeria: les invitées reçoivent des iPhones en or plaqué!
Par Http://africeleb.com/
La fille du président du Nigeria Good Luck Jonathan, s’est mariée le 12 avril dernier à Abuja.
Elle a eu un mariage à couper le souffle, sa robe était magnifique, le lieu du mariage était super super bien décoré. Les invités aussi sont rentrés très heureux.
Le Concepteur de luxe Malivelihood a publié des échantillons de certains cadeaux que les invités ont reçu au mariage de la fille du président, un des cadeaux étaient des iPhone en or plaqué.
Oh mon Dieu les gens font des folies, mais c’est quand même le mariage de la fille d’un président!
La fille du président du Nigeria Good Luck Jonathan, s’est mariée le 12 avril dernier à Abuja.
Elle a eu un mariage à couper le souffle, sa robe était magnifique, le lieu du mariage était super super bien décoré. Les invités aussi sont rentrés très heureux.
Le Concepteur de luxe Malivelihood a publié des échantillons de certains cadeaux que les invités ont reçu au mariage de la fille du président, un des cadeaux étaient des iPhone en or plaqué.
Oh mon Dieu les gens font des folies, mais c’est quand même le mariage de la fille d’un président!
mardi 15 avril 2014
RFI: Nouvelle manifestation contre le «mur de la honte» à Dakar
Un rassemblement de plusieurs associations a été dispersé par la police, samedi 12 avril, sur la corniche de Dakar. À l’origine de cette mobilisation : la construction d’un chantier de 4000 m2 attribués à une ambassade que des associations ont surnommé « le mur de la honte ».
Une manière pour ces associations de dénoncer l’attribution de terrains situés sur le domaine public maritime.
Une cinquantaine de personnes ont marché en silence sur la corniche ouest de Dakar, ce samedi. Il y avait là de jeunes étudiants, des pères et mères de famille et des mouvements associatifs.
Certains portaient un tee-shirt vert sur lequel on pouvait lire « Non au mur », allusion au chantier d’une ambassade qui, selon eux, empiète sur le littoral, comme l’explique l’architecte Pierre Goudiaby Atépa, membre de l'association SOS littoral. « Les textes sont très clairs. C’est pour des causes de défense nationale, normalement, que l’on doit déclassifier. Mais ils ont tout déclassifié. L’ambassade de Turquie, c’est 4 000 m2. Derrière il y a 100 000 m2 qu’ils se sont partagés ».
À peine installés devant le chantier pour un sit-in qui devait durer quelques heures, les manifestants ont été dispersés par la police. Selon cette dernière, le rassemblement n'était pas autorisé par le préfet de Dakar.
Le rappeur Djily Bagdad, membre du collectif Y’en a marre déplore cette décision : « Ils veulent maintenir le flou pour voir où nous coincer. Si maintenant on veut nous prendre ce droit que l’on a de dire "non" si on n’est pas d’accord, alors dans quel pays sommes-nous ? »
28 manifestants interpellés
Les policiers ont interpellé 28 manifestants, parmi lesquels trois leaders du mouvementY’en a marre. Ils ont tous été relâchés dans la soirée. Ces interpellations se sont déroulées sous l’œil distant de sportifs venir faire leur footing. Parmi eux, le jeune Fary : « Il m’arrivait de venir ici avec mes amis juste pour profiter de la vue, et rien que pour cela. C’est un droit inaliénable qui aujourd’hui est en train d’être mis en péril par toutes ces constructions ! »
L’association SOS littoral entend déposer plainte contre X pour abus de pouvoir dans le cadre « d'une déclassification d’une partie du domaine public maritime au profit du privé ».
Nous ne sommes pas prêts à faire face à Ebola
À ce jour, dans l'hôpital ou je travaille, nous avons pris des mesures particulières, sur l'hygiène (port de gants et protège nez obligatoire, lavage des mains à l'eau de Javel), sur l'identification des cas suspects et sur les mesures à suivre si besoin.
Les autorités ont pris des mesures conséquentes, la campagne de prévention contre cette fièvre hémorragique est efficace, elle a même tendance à faire entrer la population dans une psychose. Les autorités sanitaires et le personnel médical sont tous sur le qui-vive. C'est rassurant.
Pourtant, notre plus grande crainte et peur est que l'épidémie d'Ebola échappe au contrôle des autorités sanitaires. Il ne faut pas qu'on baisse les bras, il faudrait que l'hygiène soit au premier rang dans les hôpitaux, dans la population. Tout le monde doit admettre que le virus Ebola est très dangereux et très contagieux. Il n'existe aucun vaccin, aucun traitement spécifique. Par conséquent, notre combat le plus important est de prévenir de ses dangers.
Les conseils que je peux donner aux voyageurs dans cette zone sont : d'éviter les grands rassemblements, éviter de serrer la main d'autrui, se laver systématiquement les mains à l'eau de Javel, éviter d'aller dans les centres de santé ou hôpitaux si ce n'est pas indispensable, ne pas manger de viande de brousse, ni de viande de singe, ni d'antilope.
EBOLA. Médecin au Sénégal, je n'ai qu'une crainte : voir le virus arriver dans mon hôpital
LE PLUS. C'est une des épidémies les plus effrayantes à laquelle nous ayons été confrontés, selon l'OMS. Depuis janvier, l'épidémie Ebola a fait plus de 100 morts en Guinée. Le virus serait actuellement "sous contrôle", mais les pays voisins sont sur le qui-vive : Marie T., médecin au Sénégal, décrit un climat de psychose dans son hôpital.
Virus Ebola :RECOMMANDATIONS POUR LES VOYAGEURS
Mme Touraine a rappelé que son ministère et celui des affaires étrangères avaient transmis aux compagnies aériennes des recommandations pour les voyageurs : s'il n'y a « pas de restriction aux déplacements dans ces zones géographiques, on recommande aux voyageurs dans ces zones de ne pas aller dans les secteurs forestiers ». Par ailleurs, un voyageur de retour des zones touchées « et qui aurait une fièvre importante dans les trois semaines qui suivent son retour doit consulterun médecin », a-t-elle souligné.
Virus Ebola : des équipes françaises déployées à l'aéroport international de Conakry
Des équipes médicales françaises ont été déployées à l'aéroport international de Conakry « pour limiter au maximum » le risque d'une arrivée sur le sol français du virus Ebola apparu en Afrique de l'Ouest, a annoncé, samedi 5 avril, la ministre des affaires sociales, Marisol Touraine, tout en assurant qu'il s'agissait simplement de mesures de précaution.
« Des équipes de l'institut Pasteur et des médecins d'organisations non gouvernementales sont sur place pour surveiller la manière dont se déroulent les embarquements : ce sont des procédures jugées les plus efficaces face au risque lié à un virus », a-t-elle précisé lors d'une visite au centre médical d'urgence situé au terminal 2F de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle.
« La meilleure façon de lutter contre ce virus, c'est d'éviter sa propagation », a-t-elle insisté, en affirmant toutefois qu'il n'y avait « pas de malade atteint du virus Ebola sur le territoire français aujourd'hui ».
Plus de 850 migrants ont été secourus par la Marine italienne au sud de l'île de Lampedusa
Plus de 850 migrants ont été secourus samedi et dimanche par la Marine italienne au sud de l'île de Lampedusa, a-t-elle annoncé lundi.Le sauvetage de ces 852 migrants, dont l'origine n'a pas été précisée, a été effectué par des bâtiments de la Marine ainsi que par des bateaux des garde-côtes, précise un communiqué. Hommes, femmes et enfants ont été récupérés par des patrouilleurs et débarqués dans les ports de Porto Empedocle et d'Augusta, en Sicile. Par ailleurs, lundi matin, un navire de pêche long de 25 mètres, avec à bord quelque 200 personnes, a été intercepté par la garde financière à 25 milles (46 km) au sud du Capo Passero (Sicile).
Il devrait être remorqué vers un port de Sicile dans la journée. Parmi les réfugiés qui avaient été secourus vendredi par la Marine et amenés jusqu'à Augusta, un passeur présumé a été arrêté, ainsi qu'une personne qui tentait d'empêcher cette arrestation. La semaine dernière, en quatre jours, la Marine italienne avait secouru quelque 6.000 réfugiés, entassés à bord d'une quarantaine de bateaux, selon le Haut commissariat de l'Onu pour les réfugiés (HCR). Entre le 18 octobre 2013 et le 10 avril 2014, dans le cadre de l'opération italienne "Mare Nostrum" lancée en octobre après deux tragédies en mer, l'Italie a sauvé plus de 18.500 migrants, selon l'amiral Giuseppe De Giorgi. En moyenne, cinq navires militaires avec leurs hélicoptères et plus de 900 marins et officiers participent quotidiennement à cette opération.
L'épidémie d'Ebola est "sous contrôle" en Guinée
L'épidémie de fièvre hémorragique Ebola, qui a fait plus de 100 morts en Guinée depuis janvier, est "sous contrôle", a déclaré lundi le ministre guinéen des Affaires étrangères Francois Fall.
"Nous sommes heureux de dire que nous avons contrôlé la propagation de l'épidémie. Nous avons même réussi à guérir quelques-uns des malades atteints", a déclaré M. Fall à l'issue d'une rencontre avec son homologue sud-africain Maite Nkoana-Mashabane à Pretoria.
Cette épidémie est l'une des plus meurtrières avec 157 personnes contaminées et 101 personnes décédées en Guinée seulement. "Nous avons bénéficié de l'aide de la communauté internationale pour arrêter la propagation de l'épidémie", a indiqué M. Fall. Plusieurs organisations internationales humanitaires ont intensifié" leurs efforts de prévention et de lutte contre l'épidémie en Afrique de l'Ouest, particulièrement en Guinée, pays le plus affecté.
L'épidémie s'est déclarée dans le sud de la Guinée, région forestière et pauvre avant d'atteindre la capitale Conakry et de dépasser les frontières avec des cas suspects signalés dans trois pays voisins: Sierra Leone, Liberia, Mali. Il y a eu 21 cas au Liberia, dont 10 ont été mortels.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrit cette épidémie comme l'une des plus graves depuis l'apparition du virus en 1976 au Zaïre, aujourd'hui République démocratique du Congo. Le taux de mortalité du virus connu sous le nom de "Zaïre Ebola" peut atteindre 90% et il n'y a aucun vaccin, remède ni même traitement spécifique.
mardi 8 avril 2014
Premiers patients guéris du virus Ebola en Guinée
Plusieurs patients sont guéris du virus mortel et contagieux de la fièvre Ebola en Guinée, annonce Médecins Sans Frontières (MSF) mardi dans un communiqué. L'ONG a toutefois dû suspendre ses activités médicales à Macenta, dans le sud-est du pays, après que ses membres ont été pris à partie par des habitants persuadés que MSF avait amené le virus dans le village.A ce jour, les autorités guinéennes chiffrent le bilan de l'épidémie à 151 cas suspects et 95 décès. A Macenta, "des habitants ont manifesté et lancé des pierres sur les structures de soins et les véhicules de l'organisation. La manifestation a été déclenchée par la diffusion de fausses informations selon lesquelles MSF aurait amené le virus dans le village.
Aucun membre du personnel n'a été blessé, mais les activités ont dû être interrompues", précise l'ONG. "Très difficile d'informer les gens sur le virus dans leur langue" "Nous avons fait face à des réactions similaires dans d'autres pays", explique le coordinateur d'urgence de MSF, Henry Gray. "Dans ce type de situation, il est important de s'assurer que les populations ont une bonne compréhension de la maladie et de ses risques. A Macenta, une équipe chargée de la sensibilisation des patients était en place, mais il est très difficile d'informer les gens sur le virus dans leur langue, tout en mettant tout en oeuvre pour stopper l'épidémie", ajoute-t-il.
Selon l'organisation, les négociations avec les autorités se poursuivent et MSF prévoit de relancer ses activités à Macenta dès que possible. Les équipes de MSF sont également actives à Guéckédou, une autre ville au sud-est de la Guinée, et dans la capitale Conakry. Plusieurs cas suspects, dont certains mortels, ont par ailleurs été signalés au Mali, au Liberia et en Sierra Leone, mais seuls deux cas ont été testés positifs à l'Ebola au Liberia, tous les tests ont été négatifs en Sierra Leone.
Que signifie l’Acte 3 de la décentralisation
Lancé officiellement le 19 mars dernier par le président Macky Sall, l’Acte 3 de la décentralisation a pour ambition affichée de bouleverser totalement la gouvernance locale au Sénégal qui a célébré vendredi le 54ème anniversaire de son indépendance.
En octobre 2013, à l’ouverture des concertations sur l’Acte 3, Macky Sall annonçait déjà la couleur en affirmant que dans sa première phase, l’Acte 3 de la décentralisation va se caractériser par « la généralisation des communes, la création de conseils départementaux et la modification de la répartition des compétences dans les collectivités locales ». L’objectif visé est de mettre en place une architecture administrative simplifiée, une planification cohérente des compétences entre les collectivités locales et l’Etat, la modernisation de l’administration territoriale avec notamment la réforme de fond en comble des finances locales.
Les Maires, les Présidents de communautés rurales et les présidents de Conseils régionaux ont toujours demandé que l’Etat leur affecte un personnel administratif de qualité. Cette préoccupation sera prise en compte par l’Acte 3 qui milite pour la promotion de ressources humaines de qualité.
Durant cette première phase, les limites territoriales actuelles des collectivités locales et des régions seront maintenues, de même que le transfert des neuf (9) domaines de compétence dévolus par l’Etat aux entités locales et le financement du développement local.
Dans son intervention didactique, Macky Sall parlait également du maintien des organisations consultatives de la décentralisation mais aussi de la mise en place d’un Code général des collectivités locales et territoriales.
Interprétant l’Acte 3 de la décentralisation à la lumière de l’actualité des élections locales du 29 juin prochain, le président Sall précisait : « Les élections locales de 2014 porteront sur les conseillers municipaux, les conseillers départementaux et les conseillers régionaux. La seule nouveauté consiste en l'élection de conseillers départementaux et la suppression de conseillers ruraux ».
« C'est là où nous pourrons parler de régions, comme le Sénégal oriental ou la Casamance qui peut regrouper trois régions, selon le choix et l'acceptation des populations et des collectivités locales. Elle se décline ainsi en une intégration volontaire des régions au niveau d'ensembles ou bassins territoriaux, nouveaux domaines de compétences transférés, création de nouveaux organes consultatifs entre collectivités locales, entre autres », expliquait Macky Sall devant un parterre d’acteurs à la base de la décentralisation réunis à l’hôtel King Fahd de Dakar.
La deuxième phase de l’Acte 3 de la décentralisation doit naturellement parachever la première et verra émerger de nouveaux pôles territoriaux intégrant des régions et des départements. Cela rappelle la configuration territoriale de l’immédiat après indépendance mise en œuvre sous Senghor.
La décentralisation opérée en 1960 tenait compte, tant bien que mal, des zones écologiques : C’est ainsi qu’on parlait à l’époque de la région du Fleuve (Saint-Louis, Dagana, Podor, Matam), du Sénégal Oriental (Tambacounda, Kédougou), de la Casamance (Kolda et Casamance), du Sine Saloum (Kaolack-Fatick), etc…
L’acte précurseur de libertés locales plus affirmées remonte à 1972 avec la création des communautés rurales. Une ouverture plus poussée a été ensuite initiée avec une autre politique de décentralisation en 1996, sous Abdou Diouf, « dans le souci d’accroître la proximité de l’Etat et la culture de la responsabilité des collectivités locales ».
Avec l’Acte 3 de la décentralisation, Macky Sall fait la fusion des plans de développement en pôles régionaux élaborés par Cheikh Anta Diop avec une perspective continentale et Senghor avec une application nationale.
Macky Sall veut en effet mettre en place six ou sept territoires de développement avec :
*La Casamance (Ziguinchor, Sédhiou et Kolda) pour l’économie rurale, industrielle et touristique, l’élevage, le tourisme balnéaire, l’écotourisme, la production et la transformation agricole
*Diourbel-Louga pour ses ressources agro-pastorales
*Fleuve (Saint-Louis et Matam) avec son potentiel hydrologique et hydro-électrique, pour la riziculture, le maraichage, l’industrie agro-alimentaire, l’écotourisme, la pêche artisanale, l’exploitation minière
*Sine Saloum (Kaolack, Fatick, Kaffrine) pour ses potentialités agricoles (bassin arachidier), touristiques et halieutiques
*Sénégal Oriental pour une agriculture diversifiée et le développement du tourisme paysager (Parc de Niokolo Koba), ses potentialités minières (or, uranium)
*Dakar-Thiès avec la plateforme technique et industrielle de Diamniadio, ses potentiels industriels (industries chimiques, industries artisanales du cuir, du textile), les entreprises de services, le maraîchage dans les Niayes, la pêche industrielle et artisanale, le tourisme d’affaires.
L’Acte 3 de la décentralisation tient donc fondamentalement compte des ressources propres à chaque région naturelle du Sénégal.
En octobre 2013, à l’ouverture des concertations sur l’Acte 3, Macky Sall annonçait déjà la couleur en affirmant que dans sa première phase, l’Acte 3 de la décentralisation va se caractériser par « la généralisation des communes, la création de conseils départementaux et la modification de la répartition des compétences dans les collectivités locales ». L’objectif visé est de mettre en place une architecture administrative simplifiée, une planification cohérente des compétences entre les collectivités locales et l’Etat, la modernisation de l’administration territoriale avec notamment la réforme de fond en comble des finances locales.
Les Maires, les Présidents de communautés rurales et les présidents de Conseils régionaux ont toujours demandé que l’Etat leur affecte un personnel administratif de qualité. Cette préoccupation sera prise en compte par l’Acte 3 qui milite pour la promotion de ressources humaines de qualité.
Durant cette première phase, les limites territoriales actuelles des collectivités locales et des régions seront maintenues, de même que le transfert des neuf (9) domaines de compétence dévolus par l’Etat aux entités locales et le financement du développement local.
Dans son intervention didactique, Macky Sall parlait également du maintien des organisations consultatives de la décentralisation mais aussi de la mise en place d’un Code général des collectivités locales et territoriales.
Interprétant l’Acte 3 de la décentralisation à la lumière de l’actualité des élections locales du 29 juin prochain, le président Sall précisait : « Les élections locales de 2014 porteront sur les conseillers municipaux, les conseillers départementaux et les conseillers régionaux. La seule nouveauté consiste en l'élection de conseillers départementaux et la suppression de conseillers ruraux ».
« C'est là où nous pourrons parler de régions, comme le Sénégal oriental ou la Casamance qui peut regrouper trois régions, selon le choix et l'acceptation des populations et des collectivités locales. Elle se décline ainsi en une intégration volontaire des régions au niveau d'ensembles ou bassins territoriaux, nouveaux domaines de compétences transférés, création de nouveaux organes consultatifs entre collectivités locales, entre autres », expliquait Macky Sall devant un parterre d’acteurs à la base de la décentralisation réunis à l’hôtel King Fahd de Dakar.
La deuxième phase de l’Acte 3 de la décentralisation doit naturellement parachever la première et verra émerger de nouveaux pôles territoriaux intégrant des régions et des départements. Cela rappelle la configuration territoriale de l’immédiat après indépendance mise en œuvre sous Senghor.
La décentralisation opérée en 1960 tenait compte, tant bien que mal, des zones écologiques : C’est ainsi qu’on parlait à l’époque de la région du Fleuve (Saint-Louis, Dagana, Podor, Matam), du Sénégal Oriental (Tambacounda, Kédougou), de la Casamance (Kolda et Casamance), du Sine Saloum (Kaolack-Fatick), etc…
L’acte précurseur de libertés locales plus affirmées remonte à 1972 avec la création des communautés rurales. Une ouverture plus poussée a été ensuite initiée avec une autre politique de décentralisation en 1996, sous Abdou Diouf, « dans le souci d’accroître la proximité de l’Etat et la culture de la responsabilité des collectivités locales ».
Avec l’Acte 3 de la décentralisation, Macky Sall fait la fusion des plans de développement en pôles régionaux élaborés par Cheikh Anta Diop avec une perspective continentale et Senghor avec une application nationale.
Macky Sall veut en effet mettre en place six ou sept territoires de développement avec :
*La Casamance (Ziguinchor, Sédhiou et Kolda) pour l’économie rurale, industrielle et touristique, l’élevage, le tourisme balnéaire, l’écotourisme, la production et la transformation agricole
*Diourbel-Louga pour ses ressources agro-pastorales
*Fleuve (Saint-Louis et Matam) avec son potentiel hydrologique et hydro-électrique, pour la riziculture, le maraichage, l’industrie agro-alimentaire, l’écotourisme, la pêche artisanale, l’exploitation minière
*Sine Saloum (Kaolack, Fatick, Kaffrine) pour ses potentialités agricoles (bassin arachidier), touristiques et halieutiques
*Sénégal Oriental pour une agriculture diversifiée et le développement du tourisme paysager (Parc de Niokolo Koba), ses potentialités minières (or, uranium)
*Dakar-Thiès avec la plateforme technique et industrielle de Diamniadio, ses potentiels industriels (industries chimiques, industries artisanales du cuir, du textile), les entreprises de services, le maraîchage dans les Niayes, la pêche industrielle et artisanale, le tourisme d’affaires.
L’Acte 3 de la décentralisation tient donc fondamentalement compte des ressources propres à chaque région naturelle du Sénégal.
MAINTENONS PROPRE NOTRE CADRE DE VIE
La rue n'est pas une poubelle. Je garde mon environnement propre en ne jetant rien par terre, papiers, paquets de cigarettes, bouteilles, peaux de bananes, sachets en plastique…
J'utilise aussi les poubelles pour tous mes déchets y compris les produits toxiques.
Pour l’intérêt de tous et pour aider à maintenir l’état de propreté de la Cité, il est de ma responsabilité de citoyen d'entretenir ma façade et mon pas de porte en balayant ou désherbant les trottoirs et caniveaux devant ma maison. Cela concerne également les cours, jardins, murs et autres emplacements.
Je contribue au caractère accueillant de ma commune en supprimant ou rendant moins visibles les stockages d'objets hétéroclites et polluants, carcasses de voitures, ferrailles, détritus, encombrants, gravas…
Nettoyer c'est bien mais ne pas salir, c'est encore mieux.
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