Même s’il précise n’être pas contre la construction d’une arène nationale pour la lutte sénégalaise qui est notre sport national, Wetlands International a récemment sorti une déclaration en relation avec ENDA Thiers-Monde pour faire remarquer qu’il y a des dangers à installer cet édifice dans la zone du technopôle.
Wetlands International interpelle à nouveau l’Etat du Sénégal. L’ONG alerte sur les éventuelles conséquences et demande à ce qu’on délocalise le projet. Des experts en environnement estiment que le site du technopôle est le poumon vert de Dakar qui mérite d’être protégé. Elle demande par ailleurs une meilleure politique territoriale pour prévenir les inondations dans la capitale.
« Nous avions l’engagement d’élaborer cette politique nationale qui en fait sera constituée d’éléments stratégiques, donc d’orientation stratégique pour une gestion durable des zones chimiques, mais également d’actions opérationnelles au niveau de chaque zone éco géographique. Nous nous sommes rendus compte que beaucoup de problèmes d’inondation que nous connaissons, notamment dans la région de Dakar sont dus à une mauvaise prise en compte de la dimension aménagement du territoire et de la dimension urbanisation », a éclairé au micro de Sud FM le coordonnateur du programme à Wetlands international, Pape Mawade Wade qui renseigne que « c’est moins le fait d’un excès de précipitations quelques fois, qu’un défaut de gestion qui bloque »
Ces environnementalistes qui réitèrent n’être pas opposés à l’idée de construire une arène pour la lutte conseillent toutefois à l’Etat de s’orienter vers d’autres zones puisque cette zone humide du technopôle constitue un des poumons verts dans le Cap Vert et la biodiversité qu’elle renferme et les activités qui s’y mènent plaident pour un maintien.
Pour sa part, le gouvernement n’a pas encore pris de décision car les autorités attendent les études d’impact.
« Nous avions l’engagement d’élaborer cette politique nationale qui en fait sera constituée d’éléments stratégiques, donc d’orientation stratégique pour une gestion durable des zones chimiques, mais également d’actions opérationnelles au niveau de chaque zone éco géographique. Nous nous sommes rendus compte que beaucoup de problèmes d’inondation que nous connaissons, notamment dans la région de Dakar sont dus à une mauvaise prise en compte de la dimension aménagement du territoire et de la dimension urbanisation », a éclairé au micro de Sud FM le coordonnateur du programme à Wetlands international, Pape Mawade Wade qui renseigne que « c’est moins le fait d’un excès de précipitations quelques fois, qu’un défaut de gestion qui bloque »
Ces environnementalistes qui réitèrent n’être pas opposés à l’idée de construire une arène pour la lutte conseillent toutefois à l’Etat de s’orienter vers d’autres zones puisque cette zone humide du technopôle constitue un des poumons verts dans le Cap Vert et la biodiversité qu’elle renferme et les activités qui s’y mènent plaident pour un maintien.
Pour sa part, le gouvernement n’a pas encore pris de décision car les autorités attendent les études d’impact.
LA REPONSE DUMINISTRE DES APORTS MBAGNICK NDIAYE SUR LA CONSTRUCTION DE L'ARENE NATIONALE: l’Etat a pris toutes les dispositions aussi bien pour le recasement que le dédommagement et l’indemnisation de tous ceux sont affectés par le projet.
RépondreSupprimerSur les risques d’insécurité qui pourraient découler de l’érection de cette arène nationale sur le site du Technopôle, Mbagnick Ndiaye a déclaré: ‘’Mais vraiment, l’Etat a pris et prendra toutes ses dispositions pour que, véritablement, ce problème d’insécurité évoqué et qui est un faux problème, ne nous retarde pas.’’
‘’C’est vraiment un faux problème qui ne peut pas nous retarder. L’Etat a pris toutes les dispositions pour assurer la sécurité. Si l’Etat n’arrive pas à assurer la sécurité des citoyens, alors là il aura failli à sa mission’’, a indiqué Mbagnick Ndiaye.
Il a rappelé que le choix de ce site a été fait par le gouvernement précédent et que celui-ci remplit toutes les conditions pour abriter cette infrastructure sportive.
il y a 10 minutes · J’aime
VRAIMENT TRÈS NULLE COMME RÉACTION ce n'est pas un problème d'argent ni de recasement MAIS DE SURVIE des populations. Au lieu de commanditer une étude d'impact social et environnemental du site mr Mbagnick Ndiaye a préféré se tapir derrière des soit-disant études du gouvernement précédent qui, à notre connaissance, n'avait jamais opéré à une étude sérieuse. Nous rappelons que c'est le Président Wade qui, pour des raisons électoralistes, l'avait promis aux lutteurs.